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 La bipolarité quelle saloperie !

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Soan Carter
Soan Carter

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MessageSujet: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitimeSam 23 Nov - 18:47



Soan Carter





Carte I.D



Age:  23 ans

Date de naissance: 25 juin

Lieu de Naissance: New-York

Origine: Américaine

Sexe: Masculin

Signe particulier :  Mes cheveux roux et mon tatoo

Groupe:  ICI

Personnage sur le vava: Cameron Monaghan


Son caractère ...

Ecris ici le caractère de ton perso ... Courageux, ambitieux, joueur, protecteur, loyal, à l’écoute, jaloux voire possessif, têtu, maladroit, influençable par moments, rancunier, impulsif.

Quand on le voit ...

Ecris ici le physique de ton perso ... "Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. ."


Il était une fois ...

Ecris ici l'histoire de ton perso ... Pour vous raconter mon histoire autant commencer par le tout début non ? Ma mère était en couple avec un homme, celui avec lequel elle m’a conçu. Ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps mais c’était l’amour passionnel entre eux. Quelques mois à peine après leur rencontre elle est tombée enceinte. Mon père n’était pas très chaud pour me garder lorsqu’il a su qu’elle était enceinte. Il trouvait qu’ils étaient bien trop jeunes pour avoir un enfant mais ma mère ne voulait rien entendre et était contre l’avortement de toute façon. De ce fait elle a préféré ne pas interrompre la grossesse quoi que pouvait en penser mon paternel. Il s’était donc résigné et l’avait laissé faire ce qu’elle voulait puisque de toute façon elle était bien trop bornée pour changer d’avis… Mes parents se sont donc installés ensemble afin de se préparer à ma venue. Tout était déjà prévu avant ma naissance. Ma chambre était prête, les vêtements pour nouveau-né ainsi que tout le reste étaient déjà là. Il ne manquait plus que moi et j’ai poussé mon premier cri par une belle nuit d’été. Mes parents étaient tranquillement en train de dormir lorsque ma mère paniquée a réveillé son petit-ami en lui disant qu’elle venait de perdre les eaux et qu’il fallait donc aller de suite à la maternité. Par chance encore une fois ils avaient déjà prévu le coup puisque deux valises étaient dans la chambre, une pour les affaires de ma mère et une autre pour les miennes. Mon père a fait aussi vite qu’il l’a pu pour conduire ma mère à la maternité, quitte à même griller des stops ou des feux rouges… Par chance ils n’ont pas eu d’accident cette nuit-là. À peine un quart d’heure plus tard mon père s’était garé à la hâte sur le parking de l’hôpital. Du personnel hospitalier avait aussitôt pris en charge ma mère pour l’emmener au service maternité. Sauf que mon père n’avait pas du tout voulu assister à l’accouchement. Il faisait bien sentir à ma mère qu’il lui en voulait de m’avoir gardé… Il aurait pu la quitter avant ma venue au monde mais il faut croire qu’il l’aimait quand même un minimum pour ne pas l’avoir fait et avoir même emménagé avec elle.

Ma maman était donc seule en salle d’accouchement entourée des membres du personnel hospitalier qui l’aidaient à me faire venir au monde. D’après ce qu’elle m’en a toujours dit elle a eu cette chance de ne pas avoir mis trop de temps à me faire naître. Tant mieux pour elle j’ai envie de dire. Elle avait un grand sourire lorsque l’une des membres de l’équipe m’a posé dans ses bras après avoir fait les contrôles d’usage pour s’assurer que je me portais à merveille et c’était le cas apparemment d’après ce que maman m’a déjà raconté. Lorsqu’ils lui ont demandé mon nom et mon prénom elle a de suite répondu Soan Carter. Elle avait choisi ce prénom pour faire plaisir à mon paternel. Encore une chance qu’il ait accepté de me reconnaître malgré le fait qu’il était contre ma venue au monde à la base. Mais je pense que s’il l’a fait c’est surtout pour ma mère car de moi je ne pense pas qu’il en avait grand-chose à faire.

Pourquoi je suis si sévère lorsque je vous parle de lui ? Tout simplement parce que je n’ai jamais connu cet homme… Donc je le considère uniquement comme mon géniteur, ça s’arrête là. Pour cause j’avais quoi un an à tout casser quand il a quitté le domicile familial tout ça parce qu’il avait rencontré une autre femme avec qui il avait une liaison. Il l’avait préférée elle à ma mère… Donc oui j’ai la haine contre ce pourri et j’espère bien ne jamais le rencontrer car sinon il connaîtra ma façon de penser à son sujet.

Donc vous l’aurez bien compris ma mère m’a élevé toute seule, sans homme à la maison. Certes elle aurait très bien pu rencontrer un autre type mais elle ne voulait plus revivre ça ayant trop souffert après le départ de mon paternel. Et puis il y avait aussi le fait qu’elle ne voulait pas faire entrer un homme dans sa vie sans être sûr qu’il ne partirait pas du jour au lendemain. Elle avait peur que je m’attache à une image paternelle et que le type la quitte comme mon père l’avait fait. Du coup elle s’est toujours privée d’une nouvelle histoire d’amour. Ce qui n’était pas forcément bien ni pour elle ni pour moi puisque à cause de ça elle a toujours été sur mon dos à me surprotéger en jouant le rôle des deux parents à elle toute seule. Ceci dit je ne peux pas la blâmer d’avoir voulu faire de son mieux pour s’occuper de moi et veiller à ce que je ne manque de rien. Nous n’étions pas riches c’est un fait. Je n’avais pas les derniers jeux à la mode ou les vêtements dernier cri mais une chose est sûre, je ne manquais pas d’amour ni d’attention grâce à elle. Et rien que pour ça je lui en serai toujours reconnaissant.

D’ailleurs souvent lorsqu’elle allait faire la nounou chez les Williams elle m’emmenait avec elle puisqu’elle n’avait pas les moyens elle-même de me faire garder par quelqu’un d’autre. Et il ne fallait pas compter sur mes grands-parents puisqu’ils ont coupé les ponts avec ma mère lorsqu’ils ont appris qu’elle était enceinte. C’est d’ailleurs sur son lieu de travail que j’ai rencontré un autre enfant de mon âge prénommé Nolan. J’étais vraiment heureux lorsque je me rendais chez lui puisque j’avais enfin quelqu’un avec qui jouer étant donné que j’étais et suis toujours fils unique. De plus nous nous entendions très bien lui et moi. Le feeling est même passé assez vite entre nous et notre amitié au fil des années n’a fait que s’amplifier et se renforcer. À tel point que nous étions les meilleurs amis du monde. Si vous cherchiez Nolan il était avec moi. Si vous vouliez me trouver, j’étais avec lui. C’était assez rare de ne pas nous trouver ensemble. Si vous voulez tout savoir on a même fait les 400 coups ensemble. Les premiers joints, les premières cuites etc… J’ai même eu mon premier et unique baiser avec lui. Je reviendrai d’ailleurs sur ce point un peu plus tard.

Un jour j’ai fait un pari avec mon meilleur ami, je ne sais plus à quel propos mais en revanche ce dont je me souviens c’est que j’ai lamentablement perdu et mon défi était de me faire tatouer. Pour ce faire, j’ai pioché dans mes petites économies afin de me le payer puisque je savais que ma mère n’accepterait jamais de me donner de l’argent pour ça et puis il y avait aussi le fait qu’elle ne roulait pas sur l’or. Mais l’important n’est pas là. Ce qu’il faut savoir c’est que j’ai fait ça en étant mineur, qui dit mineur dit que j’ai triché en imitant la signature de ma mère sur l’autorisation de tatouage… Quant au tatouage en lui-même c’est Nolan qui avait choisi ce qu’il représenterait. J’avais simplement haussé les épaules lorsqu’il m’avait montré le dessin de base. Après tout j’avais voulu faire le malin et j’avais perdu le pari donc je n’allais pas faire la mauviette et j’allais donc assumer… J’ai réussi à le cacher un moment jusqu’à ce qu’un jour ma mère finisse par me surprendre en sous-vêtements un petit matin au réveil. Je ne vous raconte pas le savon que je me suis pris ce jour-là d’une part parce qu’elle n’aimait pas les tatouages de base, qu’elle trouvait celui-ci affreux et qu’en prime j’avais fait ça derrière son dos bien avant ma majorité.

Et puis mon monde a commencé à s’effondrer petit à petit… Sans que je ne sache pourquoi mes émotions étaient décuplées, j’avais beaucoup de mal à les contrôler. Un jour je pouvais être totalement euphorique et quelques heures plus tard ou le lendemain je pouvais être terré au fond de mon lit et ne plus vouloir en sortir pendant des jours ni même adresser la parole à qui que ce soit. Tout ceci est arrivé l’année de mes 15 ans. Ma mère ainsi que mon meilleur ami avaient bien remarqué que je n’étais plus le Soan qu’ils connaissaient si bien… Nolan a bien essayé de m’aider en cherchant à savoir ce qui m’arrivait mais je n’avais pas les réponses à ses questions puisque je ne savais pas moi-même ce qui se passait. Ma mère elle inquiète m’a fait rencontrer un psychologue qui après plusieurs examens lui annonça la terrible nouvelle. J’étais atteint de la bipolarité, une maladie qui peut se transmettre de génération en génération. Il chercha donc à savoir si ma mère ou ses parents en souffraient mais elle lui répondit que non personne n’avait ça dans la famille. Il creusa un peu plus en cherchant à savoir du côté paternel mais là ma mère s’est fermée comme une huître en disant qu’elle n’en savait rien puisqu’elle n’avait jamais rencontré la famille de mon père et qu’elle n’avait pas connu ce dernier assez longtemps pour savoir ce genre de choses. Quoi qu’il en soit maintenant on savait de quoi je souffrais et ma mère voulant m’aider et ne sachant pas trop comment me gérer, elle décida que je devais entrer à l’hôpital psychiatrique… De toute façon j’étais déjà un peu obligé d’y aller afin qu’ils puissent déterminer de quel traitement je pouvais avoir besoin. Je n’étais pas très enchanté à l’idée de devoir séjourner là-bas avec des cas sûrement pires que le mien mais je n’en pouvais plus de ces changements d’humeur perpétuels. Du coup j’avais accepté à contrecœur de me faire interner avec l’espoir de guérir. Et oui à l’époque je ne savais pas encore vraiment ce que signifiait réellement la bipolarité.  

Pour mon grand malheur ma mère a tenu à ce que je reste enfermé jusqu’à ma majorité dans cet endroit. Au début l’acclimatation ne fut pas chose aisée. Je me sentais perdu dans cet asile et puis les « drogues » qu’ils me donnaient me fatiguaient beaucoup. C’est à peine si je remarquais les visites que Nolan ou ma mère me rendaient tellement j’étais sonné. Au fur et à mesure à force j’ai commencé à plus ou moins m’habituer au mode de vie là-bas et aux cachets qu’on me donnait afin de calmer mes symptômes. J’ai même pu continuer mes études par correspondance même si ce n’était pas évident et que j’étais plus lent qu’avant pour apprendre. Ce qui m’énervait d’ailleurs parce que je me sentais diminué de ce côté-là alors qu’avant je n’étais pas si mauvais que ça en cours malgré que lorsque j’étais plus jeune je m’étais fait beaucoup chambrer par rapport à ma couleur de cheveux et d’autres choses. Mais il ne faut pas croire, je ne me laissais pas faire et renvoyais mes attaquants dans leurs buts.

Et puis le drame est arrivé pour moi l’année de mes 16 ans. Comme il le faisait régulièrement Nolan était venu me rendre visite à l’hôpital. Ça me faisait du bien de le voir car ensemble on parlait de tout et de rien. Et puis il me parlait surtout de l’extérieur, des cours au lycée etc… En plus c’était le seul à qui je pouvais vraiment me confier car j’avais beau devoir parler aux psys ce n’était pas pour ça que je me sentais mieux et puis je ne leur racontais pas tout ce qui me passait par la tête. J’avais l’impression qu’on m’avait enfermé dans une prison... Je voulais sortir mais c’était impossible pour moi, j’étais encore mineur et devais donc me plier aux ordres de ma mère. Cette chère mère qui avait bien choisi son moment pour me rendre visite puisqu’elle est arrivée dans ma chambre au moment même où Nolan et moi étions en train de nous embrasser. Elle venait de gâcher mon tout premier baiser. Ce moment qui le temps d’un instant m’avait permis de m’évader et m’avait fait me sentir bien, comme sur un petit nuage. Je me souviens encore avoir senti mon cœur battre la chamade. Mais voilà le moment magique avait été rompu par ma mère furieuse qui n’avait pas apprécié de voir son fils et Nolan s’embrasser. Elle n’avait pas hésité une seule seconde à faire sortir mon ami de ma chambre en lui ordonnant de ne plus jamais venir me voir parce que soi-disant il ne m’aiderait pas. Sur le moment j’avoue avoir eu envie de l’étrangler pour avoir fait ça. J’avais vraiment la haine et me retenais même de pleurer tellement j’étais sur les nerfs. D’ailleurs ce jour-là pour lui faire bien sentir que je lui en voulais je ne lui avais pas décroché un seul mot et ce petit jeu a duré ainsi pendant plusieurs visites jusqu’à ce qu’elle me pousse dans mes retranchements et que je lui crache ma haine au visage. Et c’est à partir de là qu’elle m’a répété maintes et maintes fois qu’elle ne voulait pas d’un fils PD, que c’était hors de question que je le sois et que c’était pour mon bien qu’elle avait renvoyé Nolan. Son discours n’a jamais évolué là-dessus... Pour qu’elle me fiche la paix et arrête de me répéter ça j’ai joué au fils docile qui avait bien compris la leçon mais en fait non je me fichais de son avis et espérais simplement que mon meilleur ami revienne. Je l’ai attende pendant les cinq autres années où je suis resté à l’hôpital psychiatrique mais elle avait réussi son coup, il n’était plus jamais venu, devait sûrement me détester voire même m’avoir oublié…

Pendant ces cinq années j’ai erré avec la tristesse d’avoir perdu mon meilleur et pour ainsi dire seul ami… Malgré tout pour ne pas sombrer je me suis battu comme j’ai pu pour obtenir ne serait-ce que mon diplôme de fin d’études du secondaire. Ma mère m’avait payé les services d’un professeur particulier afin que je parvienne à décrocher le fameux sésame. À force de travail et d’acharnement j’ai donc réussi à obtenir mon diplôme littéraire. Je ne savais pas encore exactement ce que je comptais faire plus tard comme métier mais j’avais suivi cette voie car j’adorais lire. C’était ce qui m’avait permis de tenir bon durant toutes ces années passées à l’asile. C’était un moyen d’oublier ma misérable vie et de m’évader dans d’autres mondes imaginaires puisque j’ai toujours eu une grosse préférence pour les romans traitant du surnaturel.

Maintenant ça fait un peu plus de deux ans que je suis enfin sorti de cet hôpital de malheur. Par contre je n’ai pas été libre pour autant puisque ma mère ne me laissait le droit de sortir que pour me rendre sur mon lieu de travail. À savoir un job peu valorisant puisqu’il s’agissait d’être caissier dans une enseigne de fast-food. C’était elle qui avait réussi à me faire embaucher là-bas car elle n’arrivait plus à joindre les deux bouts et ne voulait pas que je reste à la maison à rien faire ni que je sorte rejoindre mes anciennes fréquentations. Par anciennes fréquentations ne cherchez pas bien loin, elle me parlait de Nolan sans toutefois le dire directement. Mais j’avais bien compris le message même si ça avait été dit de façon détournée…

Pendant un an je me suis plié à ses désirs mais il y a un an et demi j’ai décidé de lui dire le fond de ma pensée (pour rester poli)… Je lui ai avoué que oui je l’aimais mais que je la détestais tout autant voire plus de m’avoir séparé de mon meilleur ami. Je lui ai également dit que j’avais en travers de la gorge toutes ces années passées à l’hôpital ainsi que la dernière année où elle avait tout fait pour ne pas que je sorte de la maison en dehors de mes heures de travail. Forcément elle n’a pas très bien pris tout ça mais je n’en pouvais plus de cette « vie » alors j’ai pris quelques affaires avec moi et je suis parti à la recherche de Nolan. Je suis donc allé frapper à la porte de la demeure Williams et je suis tombé sur l’un des domestiques. Je lui ai demandé si mon ami était là et il m’a répondu qu’il ne vivait plus ici depuis quelques temps déjà. Ça m’avait foutu un coup d’apprendre cette nouvelle mais je ne l’avais toutefois pas fait voir à la femme devant moi. Je lui avais demandé si elle savait où je pouvais le trouver et là elle m’a indiqué qu’il était parti vivre à Los Angeles et qu’il était étudiant là-bas. J’avais remercié l’employée de maison et étais de ce fait parti afin de prendre les transports pour rallier cette ville où je comptais bien retrouver la trace de mon amitié perdue...

Ce qui fut chose faite assez facilement. D'ailleurs quand j'y repense j'ai encore du mal à croire qu'il y a environ un an et demi j'ai retrouvé si simplement mon ami en me rendant devant l'université que la domestique de sa famille m'avait indiquée. J'ai eu beaucoup de chance ce jour-là je dois bien l'avouer... Même si les retrouvailles ont été un peu spéciales étant donné qu'on ne s'était plus revus depuis plusieurs années et que de mon côté j'avais vécu des choses pour le moins traumatisantes qui étaient devenues un sujet tabou. Malgré tout notre amitié a repris et Nolan étant très têtu a réussi à me convaincre d'emménager avec lui et m'a même aidé à trouver un petit boulot. Au fil des mois ça a été de plus en plus dur de cacher à mon ami mon attirance pour lui. D’autant plus qu’il faisait exprès de me parler de filles… Ce qui avait le don de me rendre bougon et d’attiser ma jalousie. Parce que oui j’étais amoureux de lui, ça ne faisait plus un doute. Et un jour il y a de ça plusieurs mois, alors qu’il me chambrait par SMS en insinuant que j’étais homo, j’ai fini par craquer et donc lui révéler que oui j’étais bien gay et qu’en prime je l’aimais. Sa réaction ne m’a pas plu du tout puisqu’il n’y a rien répondu hormis le fait qu’il n’avait soi-disant plus de batterie et qu’il était parti pour le week-end. Ne sachant pas sur quel pied danser et me sentant mal j’ai préféré partir de chez lui et trouver refuge ailleurs. Je n’ai pas eu de ses nouvelles pendant des jours… A croire qu’il se fichait bien de moi. Puis une nuit alors que j’étais sorti en boîte avec une amie, au moment de rentrer chez la personne qui me logeait, nous nous sommes dit au revoir. Tandis que je marchais sur le trottoir, une voiture est venue me faucher. Mon amie ayant assisté à la scène est venue à mon secours. Tout ce que j’ai pu lui dire c’était le prénom Nolan en lui montrant ma poche où était rangé mon portable. La suite je ne saurais pas vous la dire…

Je me suis réveillée à l’hôpital, avec Nolan près de moi. Il semblait dans tous ses états. Ce jour-là il a été très proche de moi, me câlinant. Il m’avait laissé une lettre dans laquelle il m’avouait ses sentiments pour moi mais aussi ses craintes au sujet de l’homosexualité et plus encore du regard des autres sur lui. J’ai été ému par cette lettre et j’y ai répondu moi aussi de manière écrite. Quelqu’un a posté ma réponse pour moi. Chaque fois que Nolan venait me voir à l’hôpital nous n’avons pas reparlé de cet échange de lettres. En revanche dès que je fus en état de sortir de l’hôpital, il a voulu que je revienne vivre chez lui, ce que j’ai fait, non sans la crainte de souffrir si jamais il ne pouvait m’offrir que son amitié. Nous avons mis les choses à plat et finalement nous sommes offerts une chance de vivre notre histoire de couple. Même si c’était caché car Nolan ne souhaitait pas encore révéler tout ceci aux autres…


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MessageSujet: Re: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitimeSam 23 Nov - 22:44

Bienvenuuuuuuuuue!!!

Je suis contente de te voir là hiiiiiiii :D
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MessageSujet: Re: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitimeSam 23 Nov - 22:45

Je vois ça :D ♡
Merci Crochet. :P
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Nolan Williams
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MessageSujet: Re: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitimeDim 24 Nov - 13:00

Bienvenue mon beau gosse (a)
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MessageSujet: Re: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitimeDim 24 Nov - 14:25

Merci mais c'est toi le beau gosse. :oops: ❤
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MessageSujet: Re: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitimeMar 26 Nov - 13:32

Mais naan t'es plus beau que moi (a)
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MessageSujet: Re: La bipolarité quelle saloperie !    La bipolarité quelle saloperie !  Icon_minitime

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