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 Un homme qui se bat pour ce qu'il veut, c'est qu'il le mérite # Killian Scott

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Killian Scott
Killian Scott
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Date d'inscription : 30/09/2010
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MessageSujet: Un homme qui se bat pour ce qu'il veut, c'est qu'il le mérite # Killian Scott   Un homme qui se bat pour ce qu'il veut, c'est qu'il le mérite # Killian Scott Icon_minitimeVen 29 Mar - 23:19



Killian Scott





Carte I.D



Age:  25

Date de naissance: 23 Juin 1988

Lieu de Naissance:  Los Angeles

Origine: Americaine

Sexe: It's a Boy

Signe particulier :  Il a de beux yeux bleus

Groupe:  Diamant

Personnage sur le vava:  Colin O'Donoghue


Son caractère ...

Je suis quelqu’un d’agréable, je ne vais pas me lancer des fleurs mais j’ai toujours aimé rire, plaisanter, à faire tout et n’importe pour épater la galerie. Mais je suis quelqu’un d’assez fragile et aussi très impulsif. Je n’aime pas du tout qu’on se paie ma tête et je sais très bien ce que je suis capable de faire après, mon poing peut partir tout seul… mais à réfléchir, je préférais mieux être en colère que triste, on sait comment ça finit quand on me brise le cœur, je peux être capable de mettre fin à mes jours… mais bon, qui n’a jamais eu cette idée ? Enfin, tout ca c’est derrière moi, maintenant je veux vivre la vie comme elle vient et je veux être heureux et ne plus m’accrocher au passé, le présent est plus important pour construire un futur. Sinon je suis quelqu’un d’assez déterminé quand je veux quelque chose de très important et je lutte jusqu’au bout pour l’avoir. Je ne suis pas du genre à baisser les bras. Après vous allez me connaitre au fur et à mesure, je vous laisse un peu de surprise.

Quand on le voit ...

Que dire de moi ? Je suis quelqu’un avec une taille normal, je fais au moins 1m80, j’ai les yeux d’un noir de jais, un peu long, ce qui fait que des fois mes cheveux me touche le front mais un peu de gel et ni vu, ni connu j’ai une coiffure tout ce qu’il y a de plus normal. Mes yeux sont très bleu et ma mère m’a toujours dit que je les tenais de mon grand-père, à vrai dire, ca me touche un peu puisque j’ai toujours aimé les histoires que ma mère me racontait sur lui, même si je ne l’ai jamais connu. Enfin, sinon j’arbore toujours une barbe de quelques jours et j’adore porter des jeans, bien sûr avec le métier de ma mère pour les grandes soirées j’ai toujours un costume de pingouin mais vous me verrez plus souvent avec un style décontracté dehors, style jean et t-shirt par exemple plutôt qu’habiller chic, je suis pas du genre à me vanter d’avoir une mère actrice. Pour finir je porte parfois des lunettes pour lire mais c’est tout.


Il était une fois ...

I Naissance

23 Juin 1988, Los Angeles, ville des anges et de lumière, à cette époque, Estelle ne pensait pas que sa journée se finirait d’une façon inattendue. Ca faisait déjà 8 mois qu’elle était enceinte de son mari, George, elle pensait encore avoir le temps, sauf qu’en plein dîner avec le patron de son mari, elle finit par perdre les eaux. Au début, la douleur était là mais elle pensait que ca passerait, sauf qu’en plein dans le dessert, elle se tourna vers George, le visage déformé par la douleur. « Le bébé… il arrive… faut absolument qu’on y aille chéri… » En pleine panique, il balbutia quelque mot, un merde au passage, s’excusa auprès de son patron et fila à toute allure à l’hôpital, sans faire attention au feu rouge qui se mettait sur son passage, heureusement il était bon conducteur et ils arrivèrent sain et sauf. Estelle fut prise en charge, emmenait en salle d’accouchement, elle eut du mal à faire sortir le bébé, mais au bout de plusieurs heures de souffrance, le bébé finit enfin par sortir, poussant son premier cri. « C’est un garçon Madame Scott ! » Le docteur lui nettoya un peu le visage et le donna à sa mère, le bébé bougeait ses petits bras et continuait d’hurler à plein poumons. La jeune mère eut un sourire amusé en voyant ce petit garçon, déjà avec autant d’énergie dans les bras. Elle lui caressa sa petite joue tendrement, regardant son mari qui vint se placer à côté d’elle, un peu foufou. « On a qu’à l’appeler Killian Nick. » George regarda sa femme en souriant, un peu ému, Killian c’était le nom de son père, du grand père du bébé en quelque sorte, qui était mort il y a peu de temps. « Va pour Killian Nick. Bienvenue dans la famille mon garçon… » Il lui caressa doucement la tête avant d’embrasser sa femme.

II Une enfance, pleine de rebondissement

Je grandissais donc, entouré de plein d’amour de la part de mes parents. Je me sentais bien, j’évoluais à mon rythme, j’apprenais à écrire, à lire, à marcher, parler, et même à courir. Il m’arrivait de faire des bêtises mais je me faisais réprimander et j’apprenais à ne plus en faire après ça. Malgré l’absence de ma mère, à cause de son métier de comédienne, je me suis bien épanoui, je m’entendais bien avec la baby Sitter, après tout, il n’y avait qu’avec elle que je pouvais passer mon temps quand j’étais petit et que je ne pouvais pas rester seul. Mais un jour on devient grand, on devient autonome, et là elle a dû partir, se trouver un autre travail, je garde toujours contact avec elle-même si elle me manque. J’aurais tant eu besoin d’elle quand mes parents ont divorcé, mon père ne supportait plus du tout le train de vie de ma mère, il se disputait souvent et même s’il ne le faisait pas en ma présence, je savais que c’était le cas, je ressentais une mauvaise tension, une tension que je n’aimais pas du tout, mes notes s’en sont fait ressentir au collège et là, le divorce a été prononcé, ça a été pire. Mes parents ne se parlaient plus que pour parler de mon avenir. Ils se disputaient pour moi, chose que je n’aimais pas, mon père disait que ma mère n’était pas assez présente pour m’élever, qu’il était mieux à s’occuper de moi, sauf que je ne voulais pas être partagé moi, je voulais seulement être avec eux tout simplement… sauf que ce n’était pas possible. L’amour qui existait autrefois entre mes parents n’était plus… mon père s’était entiché d’une autre femme, une que je n’aimais pas du tout. Je suis donc resté dans ma chambre, à regarder la fenêtre, sans trop parler ni quoique ce soit d’autre en fait. Je jetais juste ma balle de tennis sur le mur, regardant ce dernier d’un air absent. Quelqu’un frappa à ma porte, je tournais la tête, la voyant s’ouvrir et ma mère entra, un petit sourire triste sur son visage. Elle vint s’assoir sur mon lit, je continuais de faire la tronche, regardant de nouveau mon mur pour continuer de jouer avec ma balle, sans trop de plaisir. Ma mère la rattrapa au vol. « Tu sais… si ton père et moi on ne s’aime plus comme avant, ca ne veut pas dire que tu es une erreur Killian. Tu es la plus belle chose qui nous soit arrivé avec ton père et tout ce qu’on veut, c’est ton bonheur, tu comprends ça ? Tu as 12 ans, tu finiras par comprendre tôt ou tard mais sache que je t’aime, tu es mon fils et ça ne change pas. » Elle finit par me faire un bisou sur la joue, et là, elle m’arracha un petit sourire. « Je t’aime aussi maman. » Je finis par l’étreindre, fermant les yeux alors que je sentais ses caresses dans mes cheveux, m’y sentant bien, je ne voulais plus partir de là, me sentant en sécurité dans les bras de ma mère, comme si rien ne pouvait m’atteindre.

3 ans plus tard, mon père s’était marié avec cette femme… Lisa, il vivait dans une belle maison, je vivais aussi dedans, quand c’était au tour de mon père de me garder. Sauf que je ne m’entendais pas avec Lisa, elle était méchante et manipulatrice, mon père ne voyait rien mais moi je voyais à quel point elle était perfide et malfaisante… comme les marâtres dans les contes de fées, elle ne m’aime pas, ca se voit, elle est même surement jalouse de ma relation avec mon père. Tous les deux nous sommes proches, mais depuis qu’elle est là, qu’il est marié avec elle, elle fait tout pour nous séparer. Et ce fut d’ailleurs le cas ce jour-là… vous savez, les adolescents ont très mauvais caractère dans leur crise d’ado, et bien j’étais en plein dedans. Lisa venait de m’apporter mon linge, évidemment, elle avait brûlé mon t-shirt préféré, celui que je mettais toujours pour aller faire du foot avec les copains. « Vous l’avez fait exprès ! » Elle se mit à rire. « Tu te fais des idées jeune homme, j’ai juste raté mon coup… » Et elle disait ça avec un sourire en plus. « Vous êtes ignoble ! Vous savez exactement que c’est l’un de mes t-shirt favori ! Vous avez fait exprès, je le sais, ne mentez pas ! » Je sursautais en voyant mon père qui venait d’arriver. « Arrête de parler comme ça à Lisa Killian ! Elle est maintenant ma femme, tu lui dois du respect mon garçon, c’est regrettable pour ton t-shirt mais le repassage n’est pas son fort, ça viendra. » « Mais papa ! » « Ça suffit ! Je ne veux plus t’entendre ! » Et il sortit, accompagné de sa chère et beurk femme, qui venait de me lancer un sourire plutôt satisfaite sur les lèvres. Je les regardais sortir de ma chambre et je fermais la porte en la claquant violement. Je n’hésitais pas une seule seconde, je fis mon sac, à dos mettant vêtement, jeux vidéo et j’ouvrais la fenêtre, montait sur le rebord et descendais doucement, ayant un petit endroit, facile à escalader ou même à descendre comme ma chambre était à l’étage. Je partais donc, dans la nuit, sans me retourner. Ha il est préféré sa nouvelle femme ? Eh ben tant mieux pour lui parce qu’il ne me verrait pas avant longtemps… je ne voulais pas lui parler, tout ce que je voulais c’était retrouver ma mère, qui, elle au moins me comprenait. J’étais l’homme de sa vie, contrairement à mon père qui s’était trouvé une nouvelle distraction… Je marchais pratiquement toute la nuit, avant d’arriver devant la maison de ma mère. Je m’arrêtais un instant, regardant un peu la maison de mon enfance, content que ma mère l’ait gardé, c’est là que je me sentais chez moi et nulle part ailleurs. Je m’avançais donc avant d’entrer à l’intérieur. C’est là que ma mère me sauta dessus, me faisant un câlin étouffant. « Killian ! Ou étais tu passé ? Ton père a appelé, tu n’étais plus dans ta chambre quand il est allé te voir… » « M’man… tu m’étouffes… » « Ho pardon. » Je lui racontais donc toute l’histoire…

III Première copine, première rupture qui tourne en dépression…

Je vivais le parfait amour avec Eloïse, une femme parfaite que j’avais rencontré dans le bus, elle avait fait tomber sa carte d’identité et alors que je sortais pour la rattraper, je l’avais hélé, elle s’était retournée en entendant son prénom, mais ne me connaissant pas j’ai eu le droit à un regard de travers. C’est en lui rendant sa carte qu’elle se mit à sourire, rassuré de savoir que je n’étais pas n’importe qui, mais quelqu’un d’honnête. Elle me plaisait, sauf que c’est elle qui fit le premier pas et elle m’invita à boire un verre. Quelque temps plus tard je lui demandais de sortir officiellement avec moi, ce qu’elle accepta. Nous sommes resté en tout, 9 mois ensemble, 9 mois de pure bonheur, de joie, de rire en tout genre. Je crois que je n’ai jamais été aussi amoureux qu’avec elle, je ne voyais qu’elle, les autres femmes ne m’intéressaient pas. Sauf que le jour où elle a rompu, je n’ai rien compris sur le moment. « Killian, il faut que je te parle… je suis enceinte… » Un énorme sourire était apparu sur mon visage. « Mais c’est une excellente nouvelle ça !! On se trouvera une maison, on élèvera notre enfant et… » « Arrête ça ! Je ne peux pas…  je ne veux pas Killian… tous ces projets d’avenirs… ce n’est pas moi, c’est toi… je ne veux pas avoir d’enfant avec toi, je ne veux pas porter ton enfant… » Elle se mit à pleurer, je restais là, planter comme un con alors qu’elle venait de me balancer ça en pleine figure, comme si je venais de me recevoir une baffe monumentale, une baffe qui faisait mal. « Eloïse… qu’est ce qui te prend ? » « Rien… je ne veux plus être avec toi c’est tout… j’ai déjà embarqué mes affaires qui étaient dans ta chambre, j’ai ramené les tiennes… adieu Killian… » « Eloïse attend ! » Je n’eus pas le temps de la retenir, qu’elle était déjà parti. En ressentant ce sentiment d’abandon, mon cœur se serra, je ne comprenais pas, je ne savais pas ce qu’il venait de se passer. Ma petite… enfin, ex, petite amie, venait de me laisser là, tout seul, sans d’autres explications qu’un « je ne veux plus de toi, je ne veux pas de ton enfant ». J’avais l’impression que mon monde venait de s’écrouler, JE, venais de m’écrouler. Je restais par terre, regardant toujours la porte d’entrée, croyant qu’elle reviendrait… sauf qu’elle n’est jamais revenu… j’étais resté planté là, comme un pauvre clochard dans mon salon pendant deux heures lorsque quelqu’un frappa à la porte. Je me mis à sourire, croyant qu’Eloïse revenait, je me redressais et allais ouvrir, quand je vis ma belle-mère devant ma porte, mon visage change de tout au tout, devenant plus agressif, pas du tout accueillant mais elle avait l’air de s’en ficher puisqu’elle rentra chez moi sans y être invité. « Qu’est-ce que tu veux ? » Elle se retourna vers moi, un sourire sur le visage. « Voir si tout allait bien, à en croire l’appartement vide et ton air désespéré, je dirais que nous ne reverrons pas Eloïse de sitôt. » Elle affichait une mine ravie sur le visage et je savais qu’elle y était pour quelque chose. « Sortez de chez moi tout de suite sale sorcière… » Elle fit non de la tête. « Ce n’est pas poli mon garçon de me parler comme ça, fais attention à ce que pourrait dire ton père. Allez, je te laisse ruminer de cette rupture, on ne t’attend pas au dîner ... » Une fois parti, je fermais la porte violement, allant dans ma chambre, essayant de chercher ce qu’il me fallait et je le trouvais enfin… une corde que j’utilisais des fois pour l’escalade quand je m’y pratiquais. J’allais au salon, essayant de l’accrocher au ventilateur du plafond, j’y arrivais sans peine. Je regardais la corde qui pendouillait, m’appelant pour que je la mette autour du cou et sans peine, je remontais sur ma chaise, fit ce que je devais faire et regardait devant moi… je sais que je ne devais pas faire une chose pareille mais… j’étais tellement amoureux d’Eloïse, je ne pouvais pas vivre sans elle, je ne voulais qu’elle en ce monde et si elle ne voulait pas de moi, ni même de mon enfant… et bien je n’avais plus rien à faire dans cet univers… Je me retenais de pleurer, un homme ne pleure pas… un homme ne se tue pas non plus, mais ca je m’en fichais, je fis un pas en avant…

« KILLIAN !!!! Réveille-toi ! » Des tapotements sur mes joues me réveillèrent, j’ouvrais les yeux, voyant un visage flou devant moi alors que je reprenais ma respiration assez difficilement. Ma mère me serrait contre elle, me caressant les cheveux doucement, à la fois inquiète et rassuré. « Tout va bien, je suis là maintenant… » Elle me regarda dans les yeux par la suite, me caressant les joues. « Qu’est ce qui t’as pris de faire ça bon sang ? » J’avais du mal, j’osais à peine parler, de toute façon j’étais bien trop en état de choc, prenant de nouveau conscience que ma vie, avait tourné au cauchemar à l’instant même ou Eloïse m’avait annoncé qu’elle me quittait. Je finis par éclater en sanglot dans les bras de ma mère, lui disant qu’elle était partie, et j’eus la promesse solennelle par ma mère que jamais elle ne me laisserait, qu’elle ne m’abandonnerait jamais.

IV Nouveau départ, une renaissance !

Les débuts ont été difficile, ma mère a dû rester près de moi pour m’empêcher de faire des conneries, je me sentais mal… je ne voulais plus rien faire, plus sortir, de jouer avec mon groupe, j’étais guitariste et faisait les cœurs mais là je ne voulais plus, enfin, j’avais perdu toute envie de vivre. Un jour elle vint vers moi, me caressant la joue après m’avoir donné mes antis dépresseurs. « J’ai besoin d’un coup de main mon chéri… tu veux bien m’aider à répéter une scène que je dois jouer dans une série ? » Je levais doucement mon regard sur elle, faisant oui de la tête. « Qu’est-ce que je dois faire ? » Elle eut un petit sourire puis me donna le script. « Fais l’agent du FBI qui m’interroge en lisant le script, je connais mon texte. » Je regardais le script, essayant de me mettre dans la peau d’un flic. Je pris une grande respiration, prenant un air sérieux et déterminé. « J’ai encore quelques questions à vous poser madame, ca ne prendra pas longtemps, asseyez-vous. » Elle s’assit, me regardant, sans peur, une pointe d’ironie dans ses yeux, je ne savais pas la suite du script mais j’étais déjà prêt à parier que son personnage n’avait en aucun cas peur de la police. « Vous dîtes avoir vu Miranda à la soirée des Buckley à 22h, hors… j’ai une preuve tangible qu’elle ne se trouvait pas à cette soirée au moment du crime. » Je la regardais, me mettant face à elle, comme un flic le ferait pour intimider son suspect. Elle attendait patiemment et je continuais. « Nous avons une vidéo qui nous montre Miranda, quittant son travail vers 21h53… expliquez-moi comment, Miranda aurait pu être chez les Buckley à 22h alors qu’il lui faut une vingtaine de minute pour y aller. Des suggestions ? » Elle me regardait, haussant un sourcil. « Continuez monsieur l’inspecteur, je ne vois pas où vous voulez en venir… » J’eus un sourire amusé, me prenant complètement au jeu, je prenais ma chaise de bureau, m’asseyant de travers pour croiser mes bras sur le dossier, regardant un peu les paroles du policier avant de baisser le script et regarder de nouveau ma mère. « Là où je veux en venir Mademoiselle Pierson, c’est que vous êtes la seule coupable ! C’est vous qui avait tué Charles, vous qui l’avait abattu de sang-froid alors qu’il sortait prendre l’air, vous êtes la seule coupable dans cette affaire… et vous avez tout mis sur le dos de cette pauvre Miranda. » Ma mère se mit à rire. « Et pourquoi aurais je fais ça ? Je n’en vois pas l’intérêt. » Je me redressais doucement, la dominant un peu d’une tête, même si j’étais assis. « Parce que Miranda avait une liaison avec votre mari, vous l’avez découvert et vous l’avez tué de rage ! » Sans m’en rendre compte, je m’étais levé, plutôt brusquement et ma mère restait stupéfaite, pas à cause du fait qu’elle jouait son personnage, elle l’était réellement. « Killian… tu as vraiment du talent, il faut absolument que tu viennes avec moi sur les plateaux de tournage. » Je restais bouché bée. Du talent ? Moi ? Je n’en avais pas, elle exagérait un peu. « Maman… » « Il n’y a pas de mais Killian, tu viens avec moi et puis c’est tout ! »

Quelques temps après, ma mère m’obtenait un rôle dans un clip. C’était bizarre, parce que d’habitude je jouais de la guitare avec mes amis, mon groupe, depuis ma dépression j’avais mis ca de côté mais là, j’allais participer à un vrai clip. Je m’étais documenté sur la chanteuse en question, Lyrianna, je ne savais rien d’elle, hormis qu’elle avait une superbe voix, je l’avais déjà entendu lors de ma dépression et c’était les seuls moments où je me sentais exister en quelque sorte, car les paroles de ses chansons, l’intonation de sa voix lorsqu’elle chantait, sonnait tellement vrai que je ne pouvais m’empêcher d’écouter en boucle tout ça chez moi. J’avais ma guitare sur moi, en bandoulière et j’arrivais donc au studio, entrant après avoir montré au vigile qui j’étais. Je marchais et au détour d’un couloir, je percutais quelqu’un, m’arrêtant je me sentais confus. « Pardon… je ne… » Et là je m’arrêtais net. Lyrianna se trouvait devant moi ! Vous vous rendez compte ! Une femme que j’admirais, qui m’avait aidé lorsque j’allais mal grâce à ses chansons, c’était assez extraordinaire de me retrouver en face d’elle, j’ouvrais de nouveau la bouche mais aucun son ne sorti. C’est elle qui rompit le silence. « Ce n’est rien, tu pourrais m’apporter une bouteille d’eau s’il te plait ? Je meurs de soif ! Merci. » Elle me gratifia d’un petit sourire amicale avant de partir se préparer, je restais sur le cul quelques instant. Chercher de l’eau ? Mais pourquoi moi ? Elle m’avait pris pour un assistant ? Il allait vraiment falloir que je m’affirme plus, si on me prend pour un assistant, je ne vais pas avancer bien loin, mais ca ne me vexait pas. J’allais donc lui chercher une bouteille d’eau et vint la voir alors qu’elle était en pleine séance de maquillage. « Voici ta bouteille d’eau. » Elle la prit. « Merci. » Je restais ensuite debout, ne sachant trop quoi faire par la suite mais je me lançais. « Je m’appelle Killian, je… je suis vraiment honorer de tourner avec toi dans ce clip, tu es vraiment talentueuse. » Lyrianna finit par me regarder, assez surpris de ce que je venais de lui dire, elle se mit à rougir, se trouvant gêné. « Ho pardon, je suis désolé, je ne pensais pas que tu étais figurant, vraiment désolé… mais merci beaucoup. » Je passais une main dans mes cheveux avant de m’assoir. « Ce n’est rien, c’est moi qui aurait dû me présenter dès le début. » J’eus un sourire amusé avant qu’on vienne nous dire qu’on commençait dans quelques instants. Quelqu’un vint me prendre sous son aile pour me donner les vêtements à mettre pendant le clip ainsi que me maquiller. Une fois prêt, on allait sur le plateau, sauf que j’avais du mal à me concentrer, rien que d’imaginer ma première rencontre avec Lyrianna, j’étais mort de rire, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps et je devais avouer que ca faisait beaucoup de bien. Lyrianna se joignait à moi et nous finîmes par boucler plusieurs prises, déconnant beaucoup à certains moments, mais il fallait quand même finir les prises prévues aujourd’hui et malgré nos bêtises, nous avions enfin réussi. A la fin de la journée, nous avions fini par sympathiser Lyri et moi, je lui avais même joué un morceau de guitare pendant nos pauses, elle chantait et je jouais, je ne chantais plus depuis un moment, mais je lui donnais mon numéro, elle le sien et nous retournions chez nous une fois la journée fini. C’est le seul soir ou je me sentais vraiment bien et je m’étais couché, le cœur serein, comme si tout allait s’arranger.

J’ai trouvé ma voie, je me sens bien, beaucoup plus heureux, je suis un autre homme après un nouveau départ…


Derrière l'écran 8D

Prénom/Pseudo :Couca coula

Age: 22 ans

Comment as-tu trouvé le forum? Ma limonade et moi (a)

Et comment le trouves-tu?  :oops:

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